5 sets à ne pas rater ce weekend au Peacock Society

Avec plus de 50 artistes programmés sur 2 jours et en plein air, pas facile de faire un choix dans le parc de Choisy, là où se déroulera le Peacock Society les 10 et 11 septembre. Sympa, on fait le tour du propriétaire avec une sélection subjective et évidemment, non exhaustive.
Jack

2022 M09 9

    • Paul Seul (samedi 10 septembre à 20H00)

    Certains le connaissent pour son boulot en tant que moitié d'Ascendant Vierge, les autres parce qu'il a co-fondé le collectif Casual Gabberz; et tout le monde s'accorde à dire que le Français a le sens de la fête oui, mais avec le pied enfoncé sur la pédale à BPM. Au Peacock, il sera cette fois tout seul.
     

    • Paloma Colombe (dimanche 11 septembre à midi)

    Engagée, mais pas activiste, celle qui est également chroniqueuse pour Nova et réalisatrice de podcasts aime également faire tourner les disques, rendre hommage aux femmes kabyles et à ses propres origines, multiples. Sans surprise, sa house devrait bien secouer la maison Peacock.

     

    • Laurent Garnier (dimanche 11 septembre à 17H00)

    Question à 1 million d'euros : faut-il encore présenter Lolo Garnier, et son importance pour la musique électronique française ? A un âge où d'autres passent dejà leurs best-of en maison de retraite, le DJ et producteur de 56 ans continue de jouer comme un éternel adolescent qu'il n'a jamais cessé d'être. Et sa présence au Peacock sera à savourer comme ça; Garnier montrant set après set que rien ne l'arrête (voir ci-dessous).
     

    • Molecule (Dimanche 11 septembre à 21H10)

    Molecule, aka Romain De La Haye, est à la musique ce que Antoine de Maximy est à J'irai dormir chez vous. Autrement dit, un explorateur. Et ça fait dix ans que ça dure. Au Peacock, il testera une nouvelle invention dont on vous parle ici, et où il est question de gérer son set uniquement par la pensée. 

     

    • Amélie Lens (dimanche 11 septembre à 20H00)

    A 32 ans, elle est devenue l'un des noms solides et carrés de la musique électronique belge, et l'on saluera au passage le beau clin d'oeil du destin avec la présence de Boys Noize au Peacock, et qui fut pour Amélie Lens une influence majeure, avec Underworld et Ellen Allien. Boucle bouclée ?

     

     

    Pour réserver, c'est par là.

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